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Bonjour et Merci pour votre soutien . Les élus communautaires ont voté l’abandon du projet de port de plaisance le 22 juillet 2021. Depuis le 10 juillet 2020, Christophe Chabot n’est plus président de la communauté de communes, c’est François Blanchet et il a décidé un moratoire sur le projet de port et la création d'une commission de médiation qui a présenté une synthèse le 8 juillet 2021 avant vote des élus communautaires sur la poursuite ou non du projet le 22 juillet 2021. Jugement du Tribunal Administratif du 16 février 2021 : rejet du recours de La Vigie contre le SCoT du Pays de Saint-Gilles, l'association fait appel. Enquête Publique sur le projet de PLU terminée le 18 janvier 2019 - avis de la commission d'enquête favorable avec une réserve importante : rétablissement d’une coupure d'urbanisation sur le secteur de la Normandelière - approbation du PLU, en rejetant la réserve, en conseil municipal le 23 avril 2019. Nombreux recours contre le PLU. Enquête Publique sur le projet de port de plaisance terminée le 29 septembre 2018 : 5844 observations déposées - avis de la commission d'enquête favorable avec réserves - le préfet de Vendee déclare le projet d’utilité publique et donne les autorisations environnementales le 16 juillet 2019 - Nombreux recours contre les autorisations préfectorales . Le 12 janvier 2021, le Tribunal Judiciaire des Sables d'Olonne annule la vente des terrains de la ferme de la Normandelière à la commune. La mobilisation de tous est nécessaire pour s'opposer au projet de massacre de la Normandelière.

vendredi 24 mars 2017

Normandelière et à la fin, le code de l'environnement s'impose

Site Internet de la mairie de Brétignolles-sur-Mer - Information du 24 mars 2017 : Cale de la Normandelière : nouveau fonctionnement.
Le stationnement des véhicules sur l'estran étant interdit par le code de l'Environnement, les usagers de la cale de la Normandelière vont bientôt devoir stationner leur véhicule dans les parkings qui leur seront réservés 

Nous savons désormais le pourquoi des travaux sur le parking à bateaux de la Normandelière.

Nous attendions depuis longtemps la mise en place d'une organisation municipale, respectant le code de l'environnement sur le DPM (Domaine Public Maritime), pour la mise à l'eau des bateaux sur le site de la Normandelière. Cette organisation (voir tableau) sera présentée lors d'une réunion publique le 1er avril 2017, ce n'est pas un poisson !


Longtemps, longtemps, Christophe Chabot a résisté, a laissé faire les pêcheurs et les plaisanciers, malgré les injonctions du préfet de Vendée (lire les articles du 22 septembre 2015, du 12 juillet 2016).
Aujourd'hui il cède, ne serait-ce pas stratégique ? Il ne peut pas continuer à défier le préfet de Vendée alors qu'il s'apprête à lui transmettre un nouveau dossier de port de plaisance sur le site de la Normandelière !

La morale de l'histoire :
Le code de l'environnement s'impose à Christophe Chabot pour la cale de la Normandelière et interdira tout projet de port de plaisance sur le site de la Normandelière.

Petits Suppléments

Sud-Ouest du 25 mars 2017. Bordeaux : un croisiériste surpris à vider les eaux usées en plein coeur de la ville
"Un croisiériste s’est fait épingler en train de vidanger ses eaux usées au cœur de Bordeaux. Des faits qui soulèvent l’épineux sujet de l’assainissement des bateaux"
Pas très rassurant !

La Dépêche.fr du 26 mars 2017. La météo du climat dans le rouge
L'année 2017 sous tension
Les climatologues en territoire inconnu
Quelle place pour l'écologie a un mois de la présidentielle ?
Jean Jouzel, climatologue et glaciologue français. Vice-président du Giec : «Chaque année qui passe est une année perdue»

6 commentaires:

  1. Chabot, toujours aussi fourbe !

    Il en aura mis du temps Chabot pour comprendre que le stationnement des véhicules sur l'estran était interdit par le code de l'Environnement, à moins qu’une injonction coercitive du Préfet ne l’ai fait obtempérer.

    Cette « prise de conscience » ne refera pas pour autant une virginité à Chabot.

    Cette lueur de lucidité ne changera rien à la manipulation mise en place par Chabot avec sa pseudo concertation basée sur du vent de marketing.

    La planche à billet fonctionne maintenant coté ComCom. Dans les 54 000 € auront donc été dépensés par celle-ci pour ce film indigeste, dont on se demande qui l’aura regardé jusqu’au bout, si ce n’est nous les opposants à ce projet, non pas par masochisme, mais par intégrité intellectuelle afin de dénoncer les bassesses et les manœuvres de Chabot.

    Et cette prise de conscience « calle-ubuesque ! » ne cachera pas les omissions et mensonges propagés dans les documents « publicitaire » accompagnant sa concertation.

    Son soit disant nouveau projet est quasi identique à celui présenté à la DUP de 2011 qui a fait l’objet de 7 avis négatifs sur les 7 enquêtes engagées à l’époque, ce que Chabot se garde bien de dire.

    Chabot veut refaire le coup de ses « oui au port » lapidaires et non argumentés de 2011, mais c’est raté d’avance.

    Opposants au port nous ne pouvons que dénoncer cette mascarade et boycotter cette consultation démagogique et surtout pas démocratique.

    Le cirque de Chabot dure depuis trop longtemps, et il est bien regrettable que ce thème ne soit mis qu’en ce moment à l’honneur à Brétignolles !

    La seule consultation valable sera, si sa mise en place est acceptée par le Préfet au vu des dossiers présentés, sera l’enquête de Déclaration Publique (DUP), comme en 2011.
    Toutes consultations autres ne sont que de vent et de la manipulation :
    - Si consultation préalable, cela veut dire consultation pour améliorer le projet envisagé, or l’opposition ne peut évidemment pas y participer et doit faire savoir par voie de presse son rejet pur et simple du dit projet
    - Si consultation « publique » comme l’annonce Chabot sur le site de la ComCom, cela n’a aucune valeur juridique et nous sommes dans une mascarade encore plus grande et déjà utilisée avec le pseudo referendum, les réservations d’anneaux, et les « oui au port » de 2011.

    Avec Chabot tout est possible, surtout le pire.

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    1. Très juste commentaire O.R. auquel je me permets de rajouter ceci:

      Pourquoi chabot n'a-t-il pas organisé comme en 2009, (je ne suis pas certain de l'année) un référendum sur l'opportunité du port ?

      Tout simplement parce qu'en 2011, lors des enquêtes, à chaque fois que ce référendum était évoqué,( environ 90 % des personnes ayant voté se disaient favorables ! ) il a été tourné en dérision, même par les "favorables" au port, malgré que Chabot ait apporté en 2011 des garanties verbales sur l'honnêteté des opérations du dépouillement de cette consultation à la commission d'enquête !

      Et en matière d'honnêteté de dépouillement de cette consultation à l'époque, on pouvait déjà mesurer les limites de Chabot.
      Car, appelons les choses par leur nom :
      Lui mettre entre les mains l'organisation d'un tel référendum, qui ne valait strictement rien juridiquement par ailleurs, c'était un peu comme si on confiait un pensionnat de jeunes filles à DSK !
      Désolé, mais il faut prendre des comparaisons très "lourdes" pour que les lecteurs béni-oui-oui comprennent !

      Par contre, en organisant à la place du référendum sur l'opportunité du port, une concertation, qui rappelle les étapes importantes préalables à certaines enquêtes publiques, c'est autrement plus honorable ! en apparence du moins et de nature à convaincre les habitants de la com.com. à venir s'exprimer !

      Mais, chers amis, ne vous leurrez pas, c'est l'embrouille et la magouille identiques à son référendum d'il y a quelques années et cette manoeuvre est destinée à montrer aux services de l'Etat que le projet est habillé proprement ! Or, hélas il n'en est rien !!!

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  2. La situation ubuesque devrait ouvrir les yeux de certains.

    Avec enfin la mise en application des règlements concernant la mise à l’eau des bateau à la Normandelière Chabot lâche ses plus fidèles soutiens.

    Pendant des années Chabot a refusé d’appliquer les règlements en vigueur, jouant même la carte du pourrissement de la situation.

    Mais ce qui pourrait ressembler à un retournement de situation n’en est rien.
    En effet jusqu’à présent les meilleurs soutiens et prétextes au projet de port de Chabot étaient ces utilisateurs de la cale de la Normandelière. Ils se croyaient au centre du projet et étaient les alibis au besoin de cette infrastructure.

    Sans doute manipulés par ceux qui étaient censés les représenter, ils ont aveuglément adhéré aux différentes associations favorables au projet de port qui se sont succédé.

    Ils n’ont jamais compris que dans les différents projets leur cale de mise à l’eau serait relayée au fin fond des bassins portuaires, qu’il leur faudrait près d’une demi-heure pour sortir du port, idem au retour, avec la consommation de carburant inhérente.

    En aucun cas ils ont été pris en compte dans la variante économique du projet.

    Aujourd’hui Chabot estime qu’il n’a plus besoin de ces « béni oui-oui » de la première heure et les renvois, comme d’autres, à ce qu’il les a toujours considéré comme « des moins que rien » eux aussi.

    Chabot consent donc à appliquer un règlement. C’est une grande première à Brétignolles !
    Mais n’est-ce pas pour mieux faire un bras d’honneur à d’autres règlements et lois

    Avec Chabot tout est possible, surtout le pire.

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  3. Il y a aussi de la voile légère à la Normandelière et on en parle pas.

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  4. Bonjour,
    Petite phrase en forme de provocation pour découvrir toute l'amplitude de la bêtise du premier magistrat de la commune.
    "Ici les Brétignolais construisent leur avenir".
    Quand on connait le niveau d'abandon et de destruction de ce secteur, le saccage organisé.
    Il vaut mieux sourire devant cette petite phrase et le laisser brailler dans son bac à sable avec sa pelle et ses sots...et passer son chemin, tellement la pathologie est flagrante.
    Cette situation, n'est ni plus ni moins qu'un retour à la case "départ".
    C'est une bonne chose et un sacré camouflet, un de plus, pour celui qui avait volontairement organisé tout ce bazar.

    Nap ne lâchez rien!!!

    S/A

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  5. Finalement les petits pêcheurs plaisanciers sont plutôt avantagés, leur cale à bateaux est toujours près de la mer.
    S'il y avait un port de plaisance, leur cale à bateaux serait bien plus éloignée, tout au fond du port.
    les petits pêcheurs "béni-oui-oui" de BVSP n'ont toujours pas compris que le port n'était pas pour eux

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